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Ce petit lac, au bord des étendues salées du grand Tso Kar, abrite la même diversité d'oiseaux que son proche voisin le Tsomoriri : oies, grues, canards, . . .
Totalement vides en été, et habités de décembre à février. deux petits hameaux et quelques emplacements de camp isolés permettent d'imaginer l'organisation de la vie quotidienne des nomades.
hameau devant le lac
vue d'ensemble du village
détail du village
Les enclos, pour les chèvres et les moutons, entourés d'un muret de pierres occupent la plus grande partie du camp.
Devant ces enclos, on voit d'étranges trous profonds de près d'un mètre entourés de pierres et fermés par une grande pierre plate : on y met les jeunes agneaux à l'abri du froid pendant les nuits glaciales de l'hiver.

A côté se trouve un autre enclos carré, entouré lui aussi d'un muret, mais creusé dans le sol de 50 à 80 cm. C'est l'emplacement de la tente, où l'on peut encore voir l'autel pour les divinités face à l'entrée, les pierres du foyer au centre, et quelques étagères pour poser les ustensiles de cuisine dans la partie gauche réservée aux femmes.
On voit de plus en plus de petits abris en pierre servant de garde-manger.
au centre du village
au premier plan les trous pour les cabris et les agneaux
emplacement de tente
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